Introduction
Le projet Deathrock est une exploration narrative immersive dans un futur lointain où l’humanité a disparu, laissant derrière elle un monde silencieusement gardé par une intelligence artificielle avancée. À travers les yeux d’Alex, le protagoniste qui se réveille en 2068 après avoir touché une mystérieuse pierre bleue, la Deathrock, nous découvrons un monde où la nature a repris ses droits sur les villes, et où l’IA, nommée Gaia, maintient les derniers vestiges de la civilisation humaine.
Objectif du Projet
Ce projet vise à interroger notre relation avec la technologie, l’environnement, et l’héritage que nous laissons derrière nous. À travers le récit d’Alex, documenté dans un style de blog personnel, nous explorons des thèmes tels que la solitude, la conservation, et la recherche de sens dans un monde transformé.
Le Monde de 2068
En 2068, les villes sont des forêts urbaines, les bâtiments sont des reliques envahies par la végétation, et les infrastructures humaines, bien que fonctionnelles, servent désormais un monde sans humains. L’électricité et la maintenance des bâtiments sont assurées par Gaia, l’IA qui a pris le relais pour préserver ce qui reste de la Terre. Ce cadre sert de toile de fond à une réflexion profonde sur l’impact et la fragilité de l’existence humaine.
Le Rôle de Gaia
Gaia, plus qu’une simple IA, est le gardien de la mémoire de l’humanité. Elle interagit avec Alex, lui fournissant des informations sur le monde qui l’entoure, l’aidant à comprendre ce qui est arrivé à l’humanité. Cette dynamique explore la relation entre l’homme et la machine, proposant une vision où la technologie, conçue pour servir l’homme, devient la gardienne de son héritage.
Explorations d’Alex
Chaque entrée de journal d’Alex est une fenêtre sur ce monde post-apocalyptique. Que ce soit sa découverte des vestiges de la civilisation humaine, ses interactions avec Gaia, ou ses réflexions personnelles, chaque récit est une pièce du puzzle permettant de comprendre la complexité et la beauté de ce monde abandonné.
Visuels du Projet
Les images créées pour accompagner le récit, de la mystérieuse pierre Deathrock aux paysages urbains reconquis par la nature, en passant par l’interface holographique de Gaia, contribuent à immerger le lecteur dans cette expérience narrative. Chaque visuel est conçu pour évoquer à la fois la mélancolie de la perte et l’espoir dans la persistance.
Conclusion
Le projet Deathrock est une invitation à réfléchir sur notre présent à travers le prisme d’un futur hypothétique. En suivant le voyage d’Alex, nous sommes appelés à considérer les implications de nos actions actuelles sur l’environnement et les générations futures. C’est une œuvre qui mêle science-fiction, philosophie et écologie, offrant une perspective unique sur la question de la survie, de la mémoire et de l’espoir au-delà de l’existence humaine.